Maître Antoine Régley, Avocat en droit routier à Lille

Faire appel à Maître Antoine Régley, avocat du permis de conduire à Lille, c’est choisir l’efficacité couplée à des valeurs fondamentales, d’humanité, d’honnêteté, de transparence et de proximité.

C’est s’octroyer les services d’un avocat présentant des résultats que très peu arrivent à obtenir.

C’est être représenté par un avocat qui a récupéré et sauvé des centaines de permis de conduire. C’est être accompagné par un professionnel du droit routier qui obtenu des centaines de relaxes, récupéré des centaines de permis et sauvé des milliers de points. 

C’est aussi faire appel à un avocat qui ne parle pas le langage des « hautes sphères », qui ne traite pas les histoires de ses clients comme des numéros, et qui parle vrai.

C’est avoir à ses côtés un avocat très engagé dans l’application des droits des citoyens et de la défense, face à une justice répressive qui peut broyer.

C’est être défendu par un avocat que nombre de Confrères recommandent.

C’est être défendu par un avocat qui n’a pas peur d’user de sa liberté d’expression et de ton. C’est être assisté d’un avocat qui ne fait pas de courbettes. C’est faire équipe avec un avocat qui ne supporte pas le manque d’objectivité et la manière dont la Justice peut traiter les « délinquants de la route ».

C’est faire équipe avec un avocat demandé par les médias pour sa grande connaissance de la matière, sa pédagogie et son franc-parler.

C’est enfin engager un avocat aux qualités oratoires reconnues de tous.

Pour mieux le connaître et découvrir toutes ses compétences, rendez-vous sur la page dédiée de votre avocat en droit routier à Lille

Choisir le bon avocat

L’avocat en droit routier intrigue

L’avocat en droit routier récupère des permis annulés pour défauts de points en quelques semaines devant le Ministre de l’Intérieur ou devant le Tribunal Administratif (48 SI).
L’avocat en permis de conduire fait annuler des poursuites pour conduite sous l’empire d’un état alcoolique sur un vice de forme.
L’avocat en droit routier obtient la relaxe d’une conduite sous stupéfiants, faisant annuler le test salivaire sur une erreur de procédure. Il obtient des relaxes pour conduite malgré suspension alors que le conducteur a conduit malgré la réception de ladite suspension. Il fait annuler des poursuites pour conduite malgré annulation, alors que le permis était pourtant annulé. Il arrive à démontrer l’innocence de son client, accusé de délit de fuite, en plaidant du droit, rien que du droit. Il conseille son client, auditionné suite à un grand excès de vitesse sans interception, afin d’obtenir, à la fin, sa relaxe. Il obtient des résultats que d’autres ne pensent même pas demander. Il arrive à éviter la confiscation d’un véhicule. Il arrive à convaincre un juge de ne pas condamner son client à une suspension ou à une annulation. Il sauve des permis de conduire pourtant en danger en appliquant une stratégie permettant au client de le conserver malgré des amendes lui coûtant plus de points qu’il n’en a. Il fait annuler des pertes de points, etc. Il arrive à faire annuler des dizaines de milliers d’euros d’amendes majorées, dont beaucoup pour non désignation du conducteur.

Depuis les années 2000, et l’avènement de Cabinets très réputés ayant des résultats probants, de plus en plus de sites ont fleuri sur les moteurs de recherche. Certains ont même monté des sociétés, très puissantes sur Google, en promettant des résultats que seuls de vrais avocats peuvent obtenir. Même certains réseaux sociaux ont accueilli des comptes de braconniers du droit qui promettaient aux personnes ayant reçu des amendes pour excès de vitesse de garder leur permis, en désignant faussement et illégalement des personnes hébergées à l’étranger. Des condamnations ont été prononcées.

De manière plus légale, de nombreux jeunes avocats tentent l’aventure du droit routier. Beaucoup ne rencontrent pas le succès souhaité. Certains autres, si. Et la très grande majorité de ces avocats en droit routier demeure à Paris, loin des réalités de nos régions.

Il devient alors impossible de faire un choix.

Comment éviter les pièges et trouver le bon avocat ?

Quels sont les critères qui permettent de faire des choix ? Pour certains, il faut que l’avocat soit cher : « s’il est cher, c’est qu’il est bon ». Pour d’autres, c’est sa médiatisation : « s’il passe à la télé, c’est qu’il est bon ». Pour d’autres, le fait qu’il soit avocat au Barreau de Paris « S’il est à Paris, c’est qu’il est bon ». 

Après plus de 13 ans d’expérience, et plus de 3000 plaidoiries, Maître Régley constate que les critères revenant le plus souvent sont les suivants.

1 – Les résultats : le seul critère objectif de la compétence de l’avocat en droit routier

Celui qui a des résultats les fait connaître. Parce qu’il en est fier, d’abord. Pour bien informer le consommateur, ensuite. A contrario, ceux qui n’en ont pas … ne peuvent pas en faire état. Maître Antoine Régley en fait la preuve dans la page « résultats ».

Dans les années 1990, puis dans les années 2000, certains ont obtenu des résultats exceptionnels. La loi était pleine de failles. Le pouvoir politique et judiciaire ne mettaient pas « le paquet » sur la sécurité routière. Les appareils utilisés pour relever des vitesses ou des taux d’alcoolémie, n’étaient quasiment pas vérifiés. Les conditions d’intervention des forces de l’ordre étaient très restrictives et protectrices des conducteurs. Il était donc « facile » (encore fallait-il s’y connaître et prendre soin de tout fouiller) d’obtenir des centaines et des centaines de résultats. Il en était de même pour la récupération de permis dès lors que l’application du permis à points a été chaotique.

Depuis les années 2010, obtenir des résultats est beaucoup plus compliqué. Des lois ont été votées pour contrer nombre de vices de forme (notamment sur les dépistages d’alcoolémie et de stupéfiants avec la nouvelle rédaction des articles L.234-3, L.234-9 et L.235-2 du code de la route). La Cour de Cassation fait son possible pour contrer tous les arguments, parfois même au bénéfice d’interprétations très contestables (comme les décisions rendues sur le CBD).

Obtenir des résultats en nombre révèle donc aujourd’hui d’une compétence très importante, raison pour laquelle ceux qui en ont – et qui les publient donc – présentent des gages extrêmement sérieux pour le consommateur.

Par ailleurs, les résultats sont des éléments objectifs, bruts, incontestables. Il n’y a pas de « bla bla ». Pas de promesses. Pas d’histoires racontées. C’est là. C’est net. Cela se passerait même de commentaires.

Faire confiance à celui qui prouve semble donc beaucoup plus sûr qu’accorder son destin à celui qui parle. Même si les avocats sont des professionnels de la parole, la confiance des citoyens envers la profession n’est pas toujours acquise. Prouver et démontrer la réalité plutôt que prédire un avenir incertain me semble donc répondre à la mission de crédibilité que l’avocat doit présenter.

Le premier critère pour choisir un avocat en droit routier semble donc ses résultats.

Or, depuis sa prestation de serment (2012), Maître Antoine Régley, avocat du permis de conduire, a :

  • Sauvé des centaines de permis grâce à la stratégie. Il arrive que des personnes reçoivent des amendes (contraventions) au code de la route, ou soient poursuivies pour des délits devant le Procureur (CRPC), le délégué du Procureur (composition pénale et ordonnance pénale), le Tribunal de police ou le Tribunal correctionnel. Le point commun de ces personnes ? Toutes risquent des pertes de points qui entraîneront l’invalidation de leur permis de conduire puisqu’elles n’en ont pas assez. La connaissance pointue des stratégies de droit routier a permis à Maître Antoine Régley de sauver le permis de conduire de ses clients quand bien même finissent-ils par être condamnés ;
  • Récupéré des centaines de permis invalidés pour défaut de points (courrier 48 SI envoyé par le Ministre de l’intérieur). Le conducteur reçoit une décision du Ministre de l’intérieur en lettre recommandée avec accusé de réception l’informant que son permis ne dispose plus de points. Le citoyen doit alors cesser de conduire, remettre son permis de conduire aux autorités, et est interdit de le repasser avant 6 mois ou 1 an selon que c’est la première ou deuxième fois qu’il le perd. En quelques mois, semaines, et même parfois en quelques jours, Maître Antoine Régley, avocat 48 SI, récupère des points et fait valider le permis de conduire. De la magie ? Oui et non. Du droit bien appliqué. Des connaissances pointues. Et des méthodes très peu connues ;
  • Obtenu des centaines de relaxes en droit pénal routier, pour tous types d’infractions (conduite sous alcool, conduite après usage de stupéfiants, refus d’obtempérer, délit de fuite, blessures involontaires, homicides involontaires, conduite malgré suspension, conduite malgré annulation, conduite malgré invalidation, conduite sans permis, conduite sans assurance, grand excès de vitesse, petits excès de vitesse, non désignation d’un conducteur, franchissement de stop, franchissement de feu rouge, non-respect des distances de sécurité, conduite sans port de la ceinture, usage d’un téléphone tenu en mains, refus de priorité à un piéton, refus de priorité, franchissement de ligne continue, etc.
  • Obtenu des centaines de jugements « favorables » malgré une condamnation. De l’absence de suspension du permis de conduire, à la restitution du véhicule, en passant par le délai minimal d’une journée pour repasser le permis de conduire après qu’une récidive l’a obligatoirement annulé (en récidive de conduite sous l’empire d’un état alcoolique ou de conduite après usage de stupéfiants, la condamnation emporte obligatoirement l’annulation du permis, quel que soit le nombre de points) ;
  • Réussi à obtenir l’annulation et la cassation de plusieurs décision de Cours d’Appel et Tribunaux de police devant la Cour de Cassation, preuve de sa compétence juridique importante.

Maître Antoine Régley a tellement de résultats positifs qu’il y consacre une page entière de ce site internet – et encore, il ne peut pas tous les mettre, et accuse un retard dans leur publication – pour la publiant moult récupérations du permis de conduire.

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2 – L’accessibilité de l’avocat : le client doit joindre l’avocat personnellement et gratuitement

De par son éducation, de par la région dans laquelle il travaille et vit depuis 2013, Maître Antoine Régley considère qu’il doit être au plus près de sa clientèle. Il tente d’être l’avocat qu’il souhaiterait avoir s’il devait être client.

Aussi, depuis le début de sa carrière a-t-il fait le choix d’exposer son numéro de portable professionnel pour que les personnes ayant besoin de lui n’aient pas à passer par plusieurs filtres. Il répond donc au téléphone gratuitement et personnellement sur son portable. Eu égard au nombre d’appels quotidiens, il fait appel à un standard téléphonique sur sa ligne fixe, qui lui envoie les appels reçus afin qu’il puisse rappeler dans les meilleurs délais. Évidemment, entre les rendez-vous, les audiences, les écritures, les entretiens téléphoniques et un tout petit peu de vie privée, il lui arrive de rappeler tard ou le lendemain. Certes, cela peut agacer certains, mais c’est la rançon d’une disponibilité personnelle et gratuite.

Gratuite parce Maître Régley refuse de faire payer un conseil ou une première consultation. D’autres le font. Tout faire payer ne fait partie du logiciel de cet avocat qui considère que ni la robe, ni la réussite, ni sa réputation, ni ses passages dans les médias ne doivent l’éloigner de ses valeurs.

3 – Le feeling, critère très important

On choisit rarement de faire appel à un avocat dans un moment heureux de sa vie. On lui confie des soucis qui nous gâchent la vie. On le fait entrer dans nos doutes et dans notre intimité. On se confie à lui. On se remet à lui.

Alors, le feeling est un argument immensément important. Pour avoir confiance en son avocat, il faut « sentir » qu’il a quelque chose en plus. Même si les résultats sont importants, et qu’on attend de lui le meilleur, il est nécessaire d’être en accord sur un plan humain.

4 – Le prix, critère important à savoir apprécier et comparer

Pour beaucoup, le prix est le nerf de la guerre. Chaque avocat est libre de fixer ses honoraires comme il l’entend. Cependant, sa déontologie lui impose de l’adapter à plusieurs critères, parmi lesquels la situation du client, la complexité du dossier, sa réputation, l’enjeu, etc.

Eu égard aux résultats obtenus depuis tant d’années, à la renommée acquise dans les tribunaux, dans les médias ou encore grâce à son livre « Drames de la route : combats contre l’injustice », Maître Antoine Régley serait légitime à avoir des honoraires importants. Cependant, depuis des années, les prix de l’avocat du permis de conduire n’ont quasiment pas évolué. S’il s’adapte à la situation de son client, Maître Antoine Régley ne demande pas les sommes que certains pourraient penser. Par ailleurs, il sait que la population de sa région – même s’il travaille partout en France – n’est pas de celles qui peuvent tout se permettre. Pour lui, c’est un critère très important.

Aussi, propose-t-il un système de forfait (comprenant la procédure d’appel le cas échéant, ce qui est très rare) qu’il fixera avec vous. Pas d’honoraires à l’heure ou à l’acte qui ne permettraient pas au client d’avoir une visibilité. Avec le forfait, tout est fait en toute transparence.

Plusieurs clients lui ont fait part de prix pratiqués ici ou là. Maître Antoine Régley ne perd pas de temps à regarder ce que les autres demandent. Seulement, il est important de rappeler que les dossiers de permis de conduire ne demandent pas des jours et des jours de travail. Exiger des honoraires farfelus ne lui semble donc pas justifié. 

Enfin, si le cabinet demandait des honoraires bien trop élevés, il n’aurait certainement pas autant de clients, encore moins dans une région qui ne présente pas le plus grand taux de richesse (pécuniaire en tous cas) par habitant…

Le critère du prix est évidemment important. Cependant, contrairement à certains produits, le prix ne fait pas la valeur ni la compétence de l’avocat. Le moins cher n’est pas le moins bon. Le plus cher n’est pas le meilleur.

Dès le premier contact avec votre avocat en droit routier, vous pourrez lui faire part de vos souhaits, et trouver ensemble le meilleur prix.

5 – La proximité géographique, critère important, à relativiser pour certains contentieux

Le libre choix de l’avocat est un principe essentiel pour lequel Maître Antoine Régley ne cesse de se battre. Personne ne peut vous imposer ce choix là, pas même votre assurance…

Avoir un avocat proche de son lieu de résidence, cela rassure. On peut le voir plus facilement.

Et puis, cela permet aussi quelques économies. Certains cabinets facturent les frais de déplacement. Ils ont le droit. Ils ont même raison. L’avocat de votre permis de conduire, lui, a fait le choix de ne pas facturer les frais de déplacements à ses clients. Ces derniers payent un forfait déterminé avec lui. Pas un euro de plus.

Mais la situation géographique ne doit pas faire oublier la raison pour laquelle on choisit tel avocat : sa compétence à être le plus apte à vous défendre.

Dans les Hauts-de-France, peu de cabinets sont dédiés au droit routier. Beaucoup d’habitants de la région font le choix de prendre des avocats hors région parce que les moteurs de recherche les proposent plus facilement, ou parce que certains pensent que la réussite ne se ferait que dans certaines villes. Je crois que les habitants des Hauts-de-France doivent être fiers des avocats qui composent la région. Rappelons que de très grands pénalistes font, ou on fait, l’honneur de notre région, et ont une renommée nationale.

Pour les comparutions devant le Tribunal de police ou le Tribunal correctionnel (qui incluent les CRPC devant le procureur de la République), peut-être l’appartenance de l’avocat à la région est-elle plus importante que pour récupérer un permis de conduire (48 SI) puisqu’un déplacement s’impose. À ce titre, Maître Antoine Régley parcourt les départements de la région (Nord, Pas-de-Calais, Aisne, Somme, Oise) et la liste impressionnante de ses Tribunaux (Amiens, Arras, Avesnes, Beauvais, Béthune, Boulogne, Cambrai, Compiègne, Douai, Dunkerque, Laon, Lille, Saint-Omer, Saint-Quentin, Senlis, Soissons et Valenciennes).

Il lui arrive, évidemment, d’être demandé en région parisienne ou partout en France, sans frais supplémentaire. 

Pour la récupération de permis de conduire invalidés, nul besoin de se déplacer pour obtenir le résultat. Toute la procédure est écrite. Maître Antoine Régley intervient donc partout en France.

Le choix de l’avocat est libre. Ne l’oubliez pas. Pour le reste, faites-vous confiance !

6 – La médiatisation de l’avocat, critère trop imprécis

Depuis le début de sa carrière, Maître Antoine Régley constate que beaucoup de personnes choisissent un avocat parce qu’il a été « vu à la télé » ou « entendu à la radio ».

Le critère de la médiatisation est intéressant mais il peut être trompeur.

Avant de bénéficier d’une médiatisation très importante depuis quelques années (Maître Antoine Régley intervient très fréquemment sur les chaînes nationales et chaînes d’information sur les questions de droit routier, d’homicide routier et de victimes de la route), Maître Régley obtenait d’excellents résultats. Il n’a donc pas attendu cette médiatisation pour devenir « meilleur qu’avant ».

Depuis qu’il est médiatisé, Maître Antoine Régley a les mêmes résultats.

La télévision, la presse ou la radio ne rend donc pas meilleur.

A contrario, il est possible d’être médiatisé sans nécessairement être le meilleur. Celui qui jouit d’une médiatisation peut avoir des amis dans les médias, avoir rendu des services, être « bon client » ou être en lien très étroit avec telle association qui a l’oreille des médias. Il peut aussi être demandé parce qu’il est très bon orateur.

Enfin, il peut aussi être demandé, tout simplement parce qu’il est très bon.

Derrière le critère de la médiatisation peuvent se cacher différentes réalités. Si cela fait toujours plaisir de voir son avocat passer à la télé, n’oubliez pas que ce que l’on attend d’un avocat en droit routier, c’est le résultat.

« Vu à la télé ». « Entendu à la radio ». Évidemment, cela fait son petit effet. L’avocat qui passe à la télé n’est pas nécessairement le meilleur. Un passage dans les médias dépend de beaucoup de choses (relations, actualités, etc.). Il n’est pas gage de plus grande compétence. 

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Philosophie de votre avocat : la défense par le(s) droit(s)

  1. Maître Antoine Régley est un avocat très engagé dans le respect des droits du citoyen, de la défense et de l’application du droit pénal, souvent source de résultat favorable.
  2. Le droit routier a ceci de particulier : il cristallise les passions et amoindrit les droits que tout citoyen confronté à la justice doit avoir.
  3. Comment parler de présomption d’innocence lorsque, poursuivis pour un délit ou une contravention, le permis de conduire du présumé innocent est suspendu pour plusieurs mois (parfois un an même) par le Préfet ? Comment parler de « Justice » quand les Préfectures appliquent des barèmes, sans apprécier la situation des clients ? Comment parler de « droits de la défense » lorsque les suspensions préfectorales sont prises sans que l’État ne demande la moindre explication ou observation au citoyen ? Comment parler d’État de droit lorsque les recours offerts à ces personnes prennent plus de temps à être jugés que la durée même de la suspension ?

Comment parler de « Justice » normale lorsqu’un immense pourcentage des sanctions est prononcé sans qu’aucun procès contradictoire ne se tienne ? Est-il normal que des condamnations importantes puissent être décidées dans un bureau, sans entendre le prévenu, sur la base d’un dossier et de barèmes officieux ? C’est le cas des compositions pénales ou ordonnances pénales. Ces « alternatives au procès » sont vendues par les autorités poursuivantes comme étant favorables aux prévenus. Les peines prononcées seraient moins importantes. C’est totalement faux. Non seulement, les sanctions ne sont pas moins dures, mais la véritable raison de ces sanctions sans procédure contradictoire est la gestion des flux de dossiers, et surtout, l’impossibilité donnée à ceux qui veulent un vrai procès, de se défendre.

Il en va de même des CRPC – plaider coupable à la française. Pour gérer les flux de dossiers, cette procédure a été imaginée, sur le modèle américain. Concrètement, au lieu d’avoir un procès qui prend 30 minutes, dans lequel un avocat pourrait véritablement défendre son client, on le fait passer devant le Procureur de la République, avec un conseil. Cela ne dure alors que 10 minutes. La contrepartie de cette réduction des droits de la défense (même s’il existe des vices de forme, l’avocat n’a pas le droit d’en faire état devant le Procureur…) devait être une proposition de peines moins importante que celles prononcées devant le Tribunal. Le modèle était clair : « faute avouée, à moitié pardonnée ». Après 20 de CRPC, non, en droit routier, cette réduction de la peine encourue n’existe pas, ou si peu.

C’est d’autant plus vrai que, en droit routier, il existe des peines obligatoires, et des conséquences automatiques que le droit pénal normal ne connaît pas. Aussi, la récidive de conduite sous stupéfiants sous alcool, emporte-t-elle automatiquement l’annulation du permis de conduire. En quoi la CRPC est-elle favorable par rapport au Tribunal ? Aussi, en absence de récidive, la culpabilité des infractions routières emporte-t-elle la perte automatique de points sur le permis ? En quoi la CRPC est-elle moins sévère ?

Dans certains cas, ces alternatives aux poursuites peuvent être intéressantes. Cependant, elles sont le reflet d’un mouvement que Maître Antoine Régley ne supporte pas : celui de la réduction des droits de la défense et celui de la réduction des droits du citoyen.

Que celui qui a fauté soit condamné est un principe essentiel, dès lors que la procédure est régulière et qu’il a bénéficié d’un procès équitable. Mais, être sanctionné dans les conditions rappelées, non.

En travaillant avec Maître Régley, vous avez à vos côtés un avocat qui se bat pour que vos droits soient respectés et consacrés. Quand bien même finiriez-vous par perdre le procès que l’État vous intente, vous vous sentirez respecté par l’institution et protégé face à l’arbitraire.

S’il est un défenseur chevronné des droits, Maître Antoine Régley est également très attaché à la bonne application du droit.

Maître Antoine Régley est un passionné du droit pénal. Son parcours universitaire en atteste. Par ailleurs, il n’est pas rare qu’il soit mandaté par des clients accusés de crimes devant la Cour d’Assises.

Comment obtient-il des relaxes alors que les faits sont pourtant constitués, voire même reconnus ? L’application du droit pénal.

Comment fait-il annuler des procédures pour vices de forme ? L’application du code de la route, du code pénal ou de procédure pénale.

Comment fait-il pour faire annuler des contraventions alors que le code de procédure pénale précise qu’elles ont une valeur probante jusqu’à preuve contraire ? L’application d’autres dispositions du code de procédure pénale.

Comment fait-il pour récupérer des permis de conduire invalidés par décision 48 SI ? Par l’application du code de la route.

Aucun résultat de Maître Antoine Régley n’est obtenu par la chance ou la connaissance de tel ou tel juge. Tous sont obtenus par une connaissance immense du droit pénal et du droit routier, à laquelle s’ajoute une qualité de plaidoirie que tous lui reconnaissent.

Les valeurs de votre avocat​

Le culte du résultat

Se revendiquer avocat en droit routier, c’est être obsédé par les résultats :

  • Relaxes
  • Sauvetage du permis
  • Récupération du permis de conduire

Il ne sert à rien de payer plus cher un avocat pratiquant le droit routier et le droit du permis de conduire si c’est pour avoir une défense « normale ».
Plaider la peine, ou négocier avec le Procureur de la République, chaque avocat en est capable.

Maître Antoine Régley, lui, a le culte du résultat. Là où certains s’arrêtent à la peine, Maître Régley et ses clients se battent pour obtenir des relaxes pour vice de forme. Nombre de clients lui racontent que, avant de le saisir et d’obtenir une relaxe, d’autres (Internet, les policiers, des proches, des forums, etc.) leur avaient dit qu’il n’y avait « rien à espérer » : « Tu as été pris avec tel taux d’alcool, que veux-tu faire ? C’est incontestable ». « Les résultats sont clairs. Tu as des stupéfiants dans la salive. Que veux-tu contester ? ». « Tu as conduit alors que ton permis est suspendu, invalidé ou annulé. Que veux-tu donc aller contester ? ». Ceux qui ont dit tout cela ne sont pas nécessairement de mauvaise foi. Simplement, peut-être n’ont-ils pas conscience de tout ce qui peut être réalisé par celui qui maîtrise la matière et refuse la fatalité…


Il est de même pour récupérer un permis annulé (48 SI). Quand beaucoup pensent qu’il n’y a rien à faire, Maître Antoine Régley ne lâche rien et vise le seul résultat qui fasse la différence : l’annulation de la décision 48 SI et la restitution du permis en quelques jours. Dans les centaines de clients à qui il a récupéré le permis, combien ont entendu, avant de le saisir « Désolé, mais que veux-tu faire ? » ou encore « Si on attaque, cela va nous prendre plus de temps que de récupérer le permis ».

Le phénomène se répète quand le client reçoit des amendes qui lui font perdre son permis de conduire. Avant que Maître Antoine Régley ne leur sauve la mise, d’autres avaient dit « Il n’y a rien à faire » ou encore « ne paye pas, tu ne perdras pas les points » (c’est faux…).

Bref, le culte du résultat est une source inépuisable de motivation pour Maître Antoine Régley, véritable avocat de votre permis de conduire. C’est également une source rassurante pour qui cherche un avocat en la matière.

Humanité

Le principe d’humanité figure dans le serment de l’avocat.

Au-delà d’un simple respect de ce que chacun ne doit jamais oublier, Maître Antoine Régley tente de mettre en application des valeurs personnellement acquises, tant par son éducation que par les personnes rencontrées.

Pour l’avocat en droit routier qu’est Maître Antoine Régley, l’humanité ne doit pas être théorique et doit trouver des manières d’être exprimées, sans verser dans les poncifs ou le larmoyant. L’écoute est une première preuve, évidemment.

Dans le cadre de son exercice, l’avocat de votre permis de conduire a donc mis en place plusieurs choses concrètes comme ne faire payer aucun renseignement téléphonique ni prise de rendez-vous, l’adaptation des honoraires à la situation du client et la difficulté du dossier, l’acceptation d’un paiement en plusieurs fois qui se traduit sous forme de provisions, la plus grande accessibilité possible par la mise en place d’une ligne de téléphone portable professionnelle afin d’être joint le plus aisément possible, ne pas faire payer la plaidoirie en appel ou encore l’acceptation de l’aide juridictionnelle dans certains cas.

Enfin, s’intéresser aux personnes qu’il défend, prendre le temps de bavarder avec eux ou échanger avant l’audience, pour tenter de faire descendre la pression, est une manière d’être cet avocat « humain » que Maître Antoine Régley, avocat permis de conduire à Lille tente d’être.

Honnêteté

Les rumeurs et a priori populaires sur certaines professions résistent longtemps, et sont alimentés par quelques rares expériences. Certes, il ne faut pas ignorer ceux qui ont eu à se plaindre de tel professionnel. Les domaines pratiqués par les avocats peuvent faire naître des déceptions importantes ou par des relations professionnelles qui se sont mal passées.

Depuis sa prestation de serment, Maître Antoine Régley a conscience que, dans la carrière d’un avocat qui ne peut pas gagner tous ses procès malgré efforts et compétence, il connaîtra des critiques. C’est normal. Il n’existe pas d’avocats sans client mécontent. Il existe aussi quelques jalousies.

Cependant, il ne veut pas être critiqué sur la question de l’honnêteté.

C’est la raison pour laquelle Maître Antoine Régley refuse de présenter un dossier comme gagné s’il ne peut pas le garantir.

Ex : dans les dossiers de permis invalidés par une décision 48 SI, il est possible de dire au client si le permis peut être récupéré ou non, après lecture de quelques documents, et sous réserve – toujours mise en avant – d’un revirement de loi ou de jurisprudence.

Avec l’expérience de plusieurs années de pratique quotidienne, Maître Antoine Régley sait les arguments qui fonctionnent et ceux qui ne marchent pas. Et il n’hésite pas à aller voir ce que ses confrères, d’autres régions, publient, pour comprendre ou apprendre.

Aussi, lorsque l’avocat en droit routier à Lille sait que le dossier présente des obstacles trop importants, parce que la jurisprudence est contraire ou parce que la loi l’est, il en fait état au client pour que la décision de ce dernier puisse être prise en toute connaissance de cause. Il lui arrive même fréquemment de refuser la prise en charge du dossier, sachant, par exemple, que des délais n’ont pas été respectés, ou que des conditions de forme ne peuvent pas être contournées. Depuis plusieurs années, certaine de ces personnes à qu’il a préféré dire la vérité sont revenues vers lui pour lui dire qu’ils avaient tenté leurs chances ailleurs, séduits par un autre discours, mais qu’ils avaient … perdu.

Maître Antoine Régley, avocat en droit routier, préférera toujours préserver la réputation d’un avocat qui dit les choses, quand bien même elles déçoivent les promesses de sa réputation, que de faire des promesses qu’il ne pourra pas tenir, qui engageront tant sa renommée que l’image de la profession dont il est éperdument amoureux. Il est hors de question de donner de faux espoirs, le tout en se faisant payer en toute connaissance de cause. ​

Transparence

La transparence rejoint l’honnêteté sur plusieurs points.

Transparence, cela veut aussi dire que rien n’est écrit en petit dans un contrat ou « étrange ».

Sur la question des honoraires, tout est dit dès le départ. Il n’y a pas de facture surprise ou de sommes non prévues par la convention signée entre Maître Régley et le client.

Sur la question de la stratégie à adopter, Maître Antoine Régley explique toutes les possibilités offertes pour arriver à la meilleure solution. Il ne décide pas seul. Il considère que le client doit être associé à la prise de décision. C’est sa vie. C’est son destin. Pour cela, il faut une parfaite transparence.

Sur la question des permis invalidés 48 SI qu’il arrive à récupérer, Maître Antoine Régley explique toutes les étapes et transmet à ses clients toutes les informations reçues pas diverses administrations, quand bien même n’auraient-elles pas un intérêt immédiat. Quant aux délais, Maître Antoine Régley ne s’aventure pas à promettre des choses dont il n’a pas la maîtrise.

Proximité

Comme déjà évoqué plus haut, Maître Antoine Régley ne veut pas être de ceux qui profitent d’un titre ou d’un diplôme pour se tenir à distance des gens. Il cultive donc la proximité, l’accessibilité.

Il parle franc. Il dit les choses clairement, sans forcément prendre les pincettes de ceux qui se croient dans d’autres mondes.

Dans la mesure des possibilités offertes par un agenda bien rempli, il fait tout pour recevoir le plus rapidement possible un client qui aurait besoin de le voir. Dans d’autres cas, il rappellera, même tard ou le week-end pour ne pas laisser un client dans une angoisse pendant plusieurs jours.

Enfin, très attaché à sa région d’adoption, il sait combien la proximité et la chaleur humaine des gens du Nord est une qualité. Il essaye donc, malgré une assurance professionnelle nécessaire, de ne jamais donner l’image d’un avocat inaccessible, quels que soient les résultats ou les passages dans les médias.